Quand le danger est proche... [PV Darckeim]

C'était l'aube. Le soleil montrait à peine quelques uns de ses rayons, comme pour nous appâter. Au loin des nuages menaçants avançaient tels des prédateurs. En dehors de cela, le ciel était bleu. Les arbres frémissaient. Oui, il y avait un peu de vent...

Nawen venait de quitter les froides routes du Nord. Voilà trois jours qu'elle progressait dans sa quête à petit pas. La petite bicoque de vieille Iza était maintenant loin. Très loin. Avant de rejoindre les grandes routes ensoleillées du Sud, la mage était passée par une petite cabane, appartenant à un vieux chasseur. Contre une peau de bête pour se protéger du froid, il accepta de l'héberger une nuit, repas compris. L'aventurière n'hésita pas une seule seconde, et sauta sur l'occasion. La vieille maison était délabrée, et une grande cheminée trônait au bout de l'unique pièce. Suspendu au conduit, par-dessus les flammes, il y avait un gros chaudron rouillé. Un bouillon appétissant chauffait dedans. Entre l'entrée et le feu, un tapis troué, et un vieux fauteuil de fortune. Le vieux passait ses journées là, seul, à cultiver des légumes pour manger. Il avait un visage banal, quelques rides, une barbe de quelques jours grisonnante et des mitaines noires. Il ne s'habillait que de peaux et de couvertures. Mais ce qui était frappant chez lui, c'était ce regard, persistant à vouloir entrer dans votre esprit. Mais malgré ça, un regard posé, doux. Si doux que Nawen eu l'impression que cet homme était son grand-père, qu'elle le connaissait depuis toujours. Avant de partir, elle alla lui chercher du bois, pour ne pas qu'il ai à sortir dans le grand froid, et ramassa les derniers légumes qui poussaient encore...

Puis elle partit, comme si de rien n'était, laissant pourtant un cadeau majestueux au vieux bonhomme. Son respect et son sourire, comme un bijou dans un écrin, que l'on garde précieusement contre son coeur sans oser l'ouvrir. Elle reprit sa longue route dès le lever du soleil. Dans sa tête, de nombreuses idées se bousculaient. Iza, ce vieux bonhomme, son passé, son avenir... Son présent. Pourtant quand on la voyait Nawen paraissait forte, froide, et même orgueilleuse, alors que loin de ça, elle était gentille et serviable. Mais décrire le bien d'une personne, sa banalité, n'a rien d'exaltant, ce pourquoi je vais revenir à l'action du moment....

Nawen marchait, sous le soleil levant. Avec sa main droite elle relevait l'avant de sa robe, pour ne pas qu'il s'abîme dans les cailloux. Elle soupira un peu, rejeta ses cheveux en arrière, et sentant la chaleur l'atteindre, elle tant habituée au froid, déclancha d'un geste de la main, et d'une parole bien placée, une petite brise fraîche. Elle ne connaissait personne, personne ne la connaissait, et ses yeux d'azur perçaient l'horizon. Elle voulait savoir, apprendre, rencontrer... Sans savoir ce qui l'attendait au détour du chemin suivant. Elle marchait toujours, l'air sûre d'elle, et pourtant si désorientée dans sa tête. Au loin elle vit un petit bosquet, et étrangement, au milieu, une fontaine. Cette région avait vraiment tout d'étrange. Elle décida de s'y rendre, et courut un peu. Une fois là-bas, elle regarda autour d'elle, puis plongea délicatement ses mains dans l'eau, pour en porter quelques gorgées à sa bouche. La fontaine était grande, faite de marbre blanc. C'était une sorte de grand bol très évasé. Sur les côtés extérieurs, des gravures, représentant le soleil se levant et posant ses rayons sur un homme, sûrement un chasseur vu sa lance proéminente. Non loin de lui un petit animal, dont l'espèce était impossible à connaître, la gravure étant très grossière. Sûrement un renard, ou un loup, peut-être même un chien. Au dessus de lui, un croissant de lune. Au milieu du "bol", un petit trou, qui miraculeusement projetait de l'eau. A travers chaque goutte, les infimes rayons se reflétait, et donnait l'impression d'un arc-en-ciel juste devant soit. Cette vision était très belle.

Soudain Nawen se redressa brutalement, comme sortie de force de ses pensées. Elle venait d'entendre un bruit. Un petit bruit, très discret, qui ne ressemblait en rien à un simple bruissement de feuille. Elle avait appris, avec le temps, à se méfier des bruits, peut-être que le destin l'avait rattrapée, et d'ailleurs chaque fois qu'elle entendait un bruissement puis une branche se briser (ce qui n'arrivait que rarement), elle avait une sensation de sûreté, d'amour... Mais là, c'était plutôt le bruit de pas dans la terre. Elle tourna la tête, et sursauta en se voyant près d'un être très étrange. Il avait de longs cheveux blancs, voire gris. Sa peau était très foncée, presque noire. A en voir ses oreilles, il ne fallut que quelques secondes à Nawen pour deviner que c'était un elfe noir, un Drow plus exactement. Et à en voir son armement, il n'avait rien de positif à apporter à la jeune femme. Elle joignit ses mains encore humides, pour transformer l'eau en glace, mais un détail la coupa dans son élan. Le silence. Ni bruissement, ni bruit de l'eau coulant, même sa respiration semblait ne plus émettre aucun son. Elle n'osa rien dire, mais se retourna délicatement, et vit, en effet, qu'il n'y avait plus d'eau dans la vasque. Sur ses mains non plus... Tout ne serait-ce qu'illusion? Comment donner une explication à tout cela. Elle ne le savait elle-même pas, et se contenta, de dire d'une voix faible et pleine de multiples impressions et sentiments:

Qui es-tu, humble être de la nuit...?

Elle ne savait que dire de plus, que penser d'autre. La scène était plutôt étrange. Deux être totalement opposés, se fixant, silencieusement, sans un bruit de fond, sans la moindre action, comme si le temps, comme si tout s'était arrêté, comme s'il ne restait plus que deux être vivant sur cette Terre. Eux... Nawen baissa ensuite la tête, en réalité, elle n'avait jamais parlé à quelqu'un d'autre en dehors d'Iza et du vieux monsieur. Non, elle semblait loin de toute civilisation, et ignorait tout des us et coutume des gens du Sud, tout...

[Hrp: Voila, ça serait super de changer de bannière. Pourquoi?

1 - Vous voyez le petit (c), en bas, ça veut dire que la bannière ne devrait pas être utilisée comme image pour une création personnel [Un forum en fait partit]
2 - Elle est gigantesque et déforme tout le forum.
3 - Quelque chose de plus original serait souhaitable, non?]
Edit Syrus justement c'est moi qui est mis le (c) pour faire style
justement sinon le forum est trop étroit

Edit Nawen: Non, il est pas trop large, il est normal. Et le conformisme ca fait pas de mal parfois. Ensuite, Je vois pas l'interêt d'avoir recourt à une seconde barre de navigation. C'est idiot et génant. nan franchement, devoir bouger la fenêtre pour connaitre la fin des phrase, ca décourage tout une lecture...

Edit syrus: il n'y a pas de deuxième barre de navigation!

Nan, c'est vrai, surtout pas en bas ! En tout cas si tu l'a pas, j'te conseille de changer la prog' de ton écran, parce que ca craint. Et je te parle pas de la Barre avec "messagerie, déconnexion" et tout, j'te parle de la barre pour bouger la fenêtre

Darckeim réstait totalement silencieu, il regardait la jeune fille.
Ses yeux était dépourvus d'éxpréssion, il revenait de mission et malheureusement avait perdus nombres d'hommes, nombres d'amis.
L'aube mithyque résistait au assault de la puissante main noir, Darckeim se demandait comment ils osait se drésser face a lui, face au déscendant du seigneur de meurtre, face à l'écoutant.
Les yeux de Darckeim changérent, autre foisd'éxpression neutres, ceux-ci s'emplirent de colére de haine, de meurtre, de victoire.
A cette instants il remarqua la silhouétte féminine et silencieuse comme les ombres des damnés que connaissait si bien l'assassin.
La fille le regardait intrigué et curieuse.
Sa main, si frêle, si fragile, se tenait au dessus de la fontaine maintenan vide.
Une bourrasque de vent s'introduisit dans le bosquet et fît se faire envoler quelque feuilles mortes oubliait par le temps.
Darckeim leva son tour la main tout en fixant l'horizon et présque instantanément oublia la jeune fille retournant a ses sombres pensées.
L'eau de la fontaine se rematérialisa au dessus de sa paume pour former tout d'abord un démon puis une séduisante jeune fille, puis l'eau forma une sphére.
Darckeim continuait de penser ses yeux furent injécétté de haine, de fureur, de rage.
Ses narines se retroussérent et il se mît à sourire tout en pensant au massacre qui se produirait quand il retrouvera ses énnemis.
Violement, il reférma sa main et une gerbe de fumé s'échappa.
Il voulait du sang, il voulait tuer, il voulait venger ses amis, ses fréres.
Darckeim dégaina son arme et un vent plus violent encore fît soulevé sa cape et au même moment il frappa la fontaine si fort quel vola en éclats et a la place de la fontaine il n'y avait qu'un petit tas de gravat carbonisé par la puissante arme magique.
Umbra s'était dissoute voila plusieurs année pour laissé place a une plus démoniaque encore, une arme fidéle.
Des flammes noirs de formait sur la lame affûtés.
Il se revoyait combatre. Saigner ses énemis commes des porcs mais se temps était révolus.
Darckeim regréttait le bon vieu temps.
L'aventure lui manquait.

Un bruit. Une lame siflante dans les airs.
Darckeim para le coup a la fois surpris et heureux qu'une occasion se présente.
Il allait faire soufrir cette personne quel quel soit il allait lui faire mal.

La lame lui parlait, lui sussurant ses paroles démoniques.

TUE,MUTILE,BRULE. TUE,MUTILE,BRULE.
Et c'est se qu'il fît. Darckeim planta la lame démoniaque dans la poitrine du malheureu. Il la retira violement et une partis de ces tripes se vidrent sur le sol pavet de marbre du bosquet. D'un coup l'homme encore en vie se mît a fondre et a bruler. Un squelettes de chaires et de sang s'étalait au pieds de Darckeim qui jubilait et ricanait méchament en regardant le stupide être qui avait oser s'en prendre a lui. Darckeim revin dans le vague et sortit de sa sacoche une petite feuilles de tabac et une deuxiéme plus fine pour l'enrouler autour de la feuille de tabac. Il l'alluma. En tira une bouffé et se redressa complétement comme pour s'étirait.
Il s'assit et attendît. Il sortit de sa poche un bijou de grande valeur. Puis fixa la jeune fille réstait muéte pendant l'intercation contre l'assassin.

Une larme s'échappa de ses yeux et coulérent sur ses joues creuses.

- Ma... Ma femme et morte ici. Dans se bosquet.

D'un geste du bras la fontaine de reforma et se rempli a nouveau d'eau.

-J'ai construit se bosquet pour elle.

Darckeim parlait les yeux embué de larmes.
Puis reporta son regard sur ses mains entrouverte et couverte de gants de plates noirs.